Sylvie Louisette Ngo Yebel, autrefois journaliste et communicante, a été retrouvée décédée et mutilée le 7 avril au cœur de Yaoundé.
Selon des sources officielles, cette femme de média a été tuée et décapitée par son propre fils, le nommé Batek Yebel Landry dimanche dernier. Après avoir assassiné sa mère, il a dépecé son corps à l’aide d’une scie au domicile de la victime au quartier Damas à Yaoundé.
Le bourreau, secrétaire d’administration récemment sorti de L’ENAM a affirmé dans l’une de ses déclarations sommaires à la gendarmerie que tout est parti d’une dispute entre lui et sa mère. Ladite dispute a eu lieu dans son domicile sis à Damas. Après cet acte odieux, ils ont abandonné le véhicule de la victime à Soa, en périphérie de Yaoundé, non loin de la brigade de gendarmerie de céans.
Il a ensuite rangé les parties se sa mère dans 02 valises et a ensuite sollicité l’appui de son ami le nommé Lonti Junior en cavale pour le transport des valises à Etoa-meki. C’est ainsi qu’il les a jetées dans un cours d’eau non loin de la résidence familiale », raconte-t-il.
L’assassin est en outre passé aux aveux de l’assassinat de sa grand-mère il y a de cela 03 mois. Après cet acte odieux, ils ont abandonné le véhicule de la victime à Soa, en périphérie de Yaoundé, non loin de la brigade de gendarmerie de céans. Deux téléphones de la victime ont été retrouvés dans la broussaille aux environs.
Sur les réseaux sociaux, l’indignation est à son comble face à cette histoire tragique. Chacun exprime sa colère à sa manière et donne son opinion sur ce terrible événement. Parmi les réactions recueillies, voici un témoignage poignant :
« Ta mère s’est battue comme tout parent pour que tu sois un homme comme les jeunes de ta génération, elle t’a mis dans une école d’élite, elle a couvert tes crimes.
Mais hélas, Tu bloques la porte puis tu l’étouffes avec l’oreiller, elle meurt. Tu prends la scie à métaux, la découpe en plusieurs morceaux oubliant tous les sacrifices et l’amour qu’elle portait pour toi, puis la mets dans deux valises. Tu t’en vas jeter ses restes dans une rivière.
Ahhhh la Vie !!! Jusqu’ici je ne réalise pas que cela puisse se réaliser sans fiction. »
Par l’équipe de Réalité de femme