Laetitia Ky s’est fait connaître sur les réseaux sociaux grâce à son talent inouï pour réaliser des œuvres d’art avec ses cheveux. Telle une Africaine, fière de ses origines, elle a contribué à démontrer que les cheveux africains, noirs, crépus et touffus sont beaux. Quelque mois auront suffi pour qu’elle conquiert le cœur des internautes.
De sculptrice de cheveux, on la découvre avec un autre talent ” la peinture“. Contrairement à la sculpture des cheveux, son talent d’artiste peintre semble susciter une controverse. Et pour cause, les œuvres de l’artiste sont jugées trop osées et provocatrices.
Des œuvres artistiques controversées
Féministe engagée, Laetitia Ky n’a pas cessé de démontrer son engagement pour la cause de femme par des actions d’ “Acceptation de son corps ” ou pour la défense de la liberté de choix pour les femmes, ou encore à travers ses œuvres artistiques qui dépeint une Société patriarcale qui engouffre les femmes.
A lire aussi Polémique sur la supposée chirurgie de Emma Lohoues: La Star a-t-elle refait son nez?
Le lundi 01er Avril dernier, l’artiste a publié une photo de sa dernière peinture intitulée “Roi d’Hommes” traduit en anglais par “King of Men“. Cette peinture représente un groupe d’hommes qui ont leurs parties génitales entremêlées.
Laetitia Ky tenait à travers cette peinture; à envoyer un message fort à ces créateurs de contenus qui ont fait du dénigrement de la femme leur passe-temps et leur gagne-pain.
Cette peinture est une représentation satirique d’un phénomène qui a gagné en popularité dernièrement : les podcasteurs qui se définissent comme des hommes alpha de haute valeur et qui passent leur temps à dénigrer les femmes.
Laetitia Ky
Comme d’accoutumée, l’artiste féministe a eu droit à un déferlement de colère des hommes. Mais telle la maîtresse du jeu auquel elle seule détient les règles, notre féministe poursuit son combat.
Je sais que mon art militant se démarque parce que je fais passer mes messages de manière originale.
Laetitia Ky
QUELQUES OEUVRES DE L’ARTISTE LAETITIA KY
Par Rita Pascale Kwaminan